Quelques larmes sur mon oreiller,
me rapellent douloureusement une fois encore;
que tu n'es pas la pour les essuyer,
pour me consoler par la présence de ton corps.
Chaque matin, quand le soleil se lève,
mon coeur cherche le tien; je fais toujours le même rêve,
mais il n'y a rien dans mes mains.
Les jours s'ecoulent très lentement,
mais le temps s'enfuit loin de moi,
et chaque minute de ce maudit présent,
me rapellent qu'il se passent loin de toi.
TU me manque, le matin au réveil,
tu me manque le soir au coucher;
et même quand tu pénètre dans mon sommeil,
tu me manque quand je reviens à la réalité...
J'aimerai tant être un petit brin de vent,
fendre les kilomètres à la vitesse éclair;
et pouvoir t'envelopper tendrement,
de tout mon amour ma douce lumière...
me rapellent douloureusement une fois encore;
que tu n'es pas la pour les essuyer,
pour me consoler par la présence de ton corps.
Chaque matin, quand le soleil se lève,
mon coeur cherche le tien; je fais toujours le même rêve,
mais il n'y a rien dans mes mains.
Les jours s'ecoulent très lentement,
mais le temps s'enfuit loin de moi,
et chaque minute de ce maudit présent,
me rapellent qu'il se passent loin de toi.
TU me manque, le matin au réveil,
tu me manque le soir au coucher;
et même quand tu pénètre dans mon sommeil,
tu me manque quand je reviens à la réalité...
J'aimerai tant être un petit brin de vent,
fendre les kilomètres à la vitesse éclair;
et pouvoir t'envelopper tendrement,
de tout mon amour ma douce lumière...